"L'immensité" de la rencontre Dion/Bouraoui
Sans être aussi ferme dans mon désenchantement canadien que ne l'est Lez, j'ai beau chercher depuis trois jours ce que j'ai envie de dire sur ce voyage, je ne trouve pas. Enfin si... écumant les radios sur les routes entre Montréal, Toronto et Québec, nos oreilles - soulagées de ne plus entendre uniquement du rock bon marché - se sont en revanche délectées du dernier titre de Céline Dion.
Spéciale dédicace à Lez :
ce qui m'étonne tu sais
C'est tout l'éclat de nos baisers
3 commentaires:
Qu'un-e écrivain-e écrive les paroles d'une chanson, est-ce un gage de qualité textuelle et musicale ?
Moi qui lit Nina Bouraoui avec constance et fidélité depuis la Voyeuse interdite, fourvoiements littéraires et commerciaux compris, à l'écoute de cet amalgame de clichés bon marché, je trouve que cela sent grave l'argent facile !
Moi, j'adore les ruptures de cohésion (c'est ça une anacoluthe non ? ;-) entre culture cultivée et culture pop.
Pis le seconde degré de Cal aussi ("albôme conssepte").
Bah, Nina faut qu'elle vive comme tout le monde, non? A chacun de juger s'il retrouve ce qu'il aime dans la chanson ou non. Mais même si la chanson (pas entendue) est une vraie daube, j'adorerai encore ses meilleurs bouquins.
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